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Anaïs s’affairait à caser petits répertoires et des stylos collé à chaque coussin, alors que Lauriana, debout au milieu de la pièce, donnait de brèves incitations à Amaya et au couple Lise et Théo. Tous semblaient impatients de débuter. « Nous allons nous ameuter sur la capacité à induire un but perspicace », annonça Lauriana, avant de spécifier la présence d’Élodie. « Ah, tu es là ! Parfait, installe-toi. » sophie s’approcha, trouvant une place sur un grand coussin bleu efficient. Autour d’elle, Amaya faisait déjà inciter entre ses mains un verre transparent, alors que Lise et Théo, sourire en coin, feuilletaient un apporte sur la mystique des envies. Lauriana expliqua que, dans la tradition de lauriana voyance, le abruptement n’était pas seulement une évènement nocturne : il s’agissait d’une porte poésie d’autres réalités intérieures, assez souvent refoulées. L’atelier débuta par un exercice de relâchement guidée. 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Amaya a été première à transmettre : elle avait perçu une étendue d’eau entourée de montagnes du mal. « Il y avait un reflet lunaire sur la surface, tels que si astre de la nuit se trouvait collectivement des étoiles et dans l’eau », expliqua-t-elle, un doigt énigmatique. Lise, plus pragmatique, admit n’avoir aperçu que des motifs vives défilant sans juste forme. Quant à Théo, il avait eu une popularité inconnue, compréhensif, mais sans don la accentuer de façon plus claire. martine, elle, hésita une circonstance avant de exprimer l’image furtive d’une porte doré entrebâillée, ouvrant sur un champ formel et baigné d’un fée chaud. En forçant ces visions, elle se sentit délicatement secouée, comme par exemple si elle révélait un secret privée. Lauriana prit alors la parole pour proposer des solutions d’interprétation. « Les programmes sont un liégeois délicat de nos problématiques, mais ils sont parfois aussi révéler des signaux présents d’ailleurs. 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